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    Juste pour le plaisir, histoire de se rappeler qu'il faisait très très chaud il n'y a pas si longtemps.

    Un lit de nénuphar.

    Le parc de la ballastière

    Je suis né, j'ai vécu, j'ai "mourru".  J'étais un accacia.

    Le parc de la ballastière

    Sérénité.

    Le parc de la ballastière

    Fossile surnageant. Peut-être veut-il retrouver son compagnon d'infortune. Je sais, je divague.

    Le parc de la ballastière

    Ce fut un vrai plaisir pour les yeux ce parc. J'aime ces lieux de tranquillité dans une ville où l'on peut s'y ressourcer, se retrouver...

    Le parc de la ballastière

    Je me verrai bien, assise sur un des bancs qui longent le parcours, un livre à la main, tantôt lisant, tantôt regardant le paysage, une légère brise ....Bon d'accord, j'arrête, je divague encore !  C'est l'effet enfermement. lol

     


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    Lors de mon premier arrêt à Sens, j'ai pu découvrir, avec ma fille, le parc de la Ballastière. Nous avons fait le tour de l'étang et je partage avec vous ces quelques clichés.

    Le parc de la ballastière

    Le parc de la Ballastière fut nommé ainsi en rappel des extractions de ballaste qui servirent à l’aménagement de la voie ferrée au cours du XIXe siècle. Après l’arrêt de l’activité, l’eau envahit peu à peu la carrière jusqu’à former ce ravissant petit étang. (Pris sur le net)

    Le parc de la ballastière

    Beaucoup de soleil et de chaleur ce jour là.

    Le parc de la ballastière

    Nous emprunterons tout du long un petit chemin bien agréable sous couvert d'arbres même si certains resteront pour longtemps en l'état de vestiges.

    Le parc de la ballastière

    Hmmm, j'aime ces tunnels ombragés.

    Le parc de la ballastière

    Ce que j'ai aimé aussi ce sont les nappes de nénuphars où se reposaient des foulques. Trop loin malheureusement pour de bons clichés. Alors j'en ai phographié un sur l'eau.

    Le parc de la ballastière

    Et voici ce que j'ai préféré. De jolis nénuphars. Dommage qu'ils étaient eux aussi trop loin pour que j'en fasse des macros.

    Le parc de la ballastière

    J'ai encore plein d'autres photos mais ce sera pour un autre épisode.

      


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    Un avis de recherche a été lancé sur les ondes de toutes les radios de France et sur les chaînes audiovisuelles.  A l'heure où j'écris ces quelques lignes, il n'a toujours pas été retrouvé. Je parle du soleil bien sûr !  

    En attendant, je vous offre ces photos prises à Sens en mai 2012.

    Avis de recherche

    Avis de recherche


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    Pour promouvoir leurs sociétés ma fille et son amie ont eu l'idée de confectionner des petits sachets avec petits cadeaux gratuits (stylo, casse-tête et porte-clés) et à l'intérieur des petits chocolats. C'était super sympa de les aider et très enrichissant.

    Ambiance détendue pour la confection de certains chocolats

    Ambiance, ambiance

    Ambiance plus appliquée pour la confection des sachets. Cela ne rigole pas !

    Ambiance, ambiance

    Les sachets s'accumulent, il y en a encore beaucoup à faire.

    Ambiance, ambiance

    Préparation du stand devant la gare de Sens. Chocolat chaud et sachets prêts à être remis aux voyageurs. 

    Ambiance, ambiance

      

    C'était la toute première fois qu'elles préparaient un tel événement. Bravo les filles, malgré le peu de contacts qui, je l'espère pour vous, se concrétisera, vous n'avez pas démérité.

      

     


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    Cette sculpture a été photographié lors de la visite du musée de Sens au printemps dernier.

    Rodin : l'âge d'airain

    Voici ce que j'ai trouvé sur le sujet sur Wikipédia.

    En 1877 âgé de 37 ans, il retourne à Bruxelles où il réalise en 18 mois sa première grande œuvre « L'Âge d'airain » avec laquelle il espère devenir célèbre. La statue représente en grandeur nature le plâtre du jeune modèle soldat belge, Auguste Neyt âgé de 22 ans. Plusieurs exemplaires de l'original seront réalisés par moulage.
     
    Il l'expose cette même année au « Cercle artistique et littéraire de Bruxelles » sous le nom de « Le Vaincu », au « Salon des Artistes français de Paris » sous le titre de « l'Âge d'Airain » et à l'Exposition universelle de Paris de 1900 sous le titre de « L'homme qui s'éveille ».
     
    Sa statue donne une telle impression de vie, qu'on l'accuse d'avoir fait un moulage sur un modèle vivant.
     
    Des experts prouvent son génie et ce scandale retentissant amorce sa gloire, sa fortune et ses 40 ans de carrière au sommet. Les commandes officielles abondent rapidement et Rodin devient portraitiste mondain.
     
    En 1878, Rodin crée son Saint Jean Baptiste plus grand que nature pour prouver qu'il n'a pas recours au moulage et prouver son génie.

    Rodin : l'âge d'airain

     

      


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